Partager

Ministre provincial honoraire, député national honoraire, l’honorable Djuma Balikwisha tire sa révérence à Kinshasa, quelques jours seulement après l’assassinat sauvage de ses parents dont son père Abdalatif et sa mère biologique à Bashu dans le territoire de Beni par ses inconnus qui courent encore dans la nature.

Une mort brusque dans l’un des hôpitaux de Kinshasa ce lundi 01 août 2022, aux environs de 23 heures 30 minutes selon les sources familiales, de suite d’une courte maladie, alors que les gens ne s’y attendaient pas du tout, c’est un choc.

Bouleversé par cette triste nouvelle, le notable et homme d’affaires Jonas Kasimba est le premier à présenter ses condoléances sur son compte twitter en ses mots;

« #Bashu: aujourd’hui c’est un jour de nuit, un jour sans nom et sans éclair. #la chefferie de bashu ne cesser de pleurer. JUMA BALIKWISHA quitte cette terre de suite d’une courte maladie après l’assassinat de mwami Abdalatif son père et de sa mère. nos condoléances à sa flle »

Bashu, un jour de nuit, un jour sans nom, en tout cas le notable Jonas Kasimba lui comme natif de Beni, comprend la douleur que récente présentement la population de ce coin de la province, avec cette énième perte de l’un d’entre-elle, surtout que les chocs en rapport avec l’assassinat sauvage du couple du grand notable du coin Abdalatif Pathanguli père de l’illustre disparu ne sont pas encore réparés, c’est une grande tristesse dans la chefferie de Bashu, tous Bashu est en froid d’après Jonas Kasimba qui pleure son grand frère Djuma Balikwisha natif de Beni comme lui.

Soulignons que, le désormais défunt Djuma Balikwisha qui fût un musulman pratiquant, était ministre provincial du plan, budget et de la communication du Gouvernement Julien Paluku à l’époque, peu avant d’être élu député national en territoire de Beni de la législature de 2011-2018, il a été aussi cadre de la DFC/N parti politique cher à Enoch Muvungi.

Père d’une grande famille, l’honorable Djuma Balikwisha laisse derrière lui une veuve et plusieurs orphelins à Kinshasa.

Fidèle Mambo