Parti à Kinshasa sur invitation de l’hiérarchie du pays il y a de cela presque 2 mois, l’honorable Carly Nzanzu Kasivita Gouverneur de la province du Nord-Kivu en sursis, a regagné sa province ce lundi 12 septembre 2022 avec la délégation de l’honorable Vital Kamerhe ancien directeur de cabinet du Président de la République, qui vient d’entamer une caravane pour la paix à l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).
De l’aéroport de Goma où il a été accueilli avec son hôte Vital Kamerhe, l’honorable Carly Nzanzu Kasivita et le couple Kamerhe, ainsi toute la délégation de l’Union Nationale Congolaise (UNC) parti cher à Vital Kamerhe jusqu’à au stade Afia lieu du meeting de l’allié de Félix Tshisekedi, ont fait le pied.
Sur place, Vital Kamerhe, dit VK a présenté toutes les personnes qui l’accompagnent, dont l’honorable Carly Nzanzu Kasivita, qui dans son bref speech, a d’abord présenté ses compassion à la population de Goma et du Nord-Kivu en général qui fait face à l’insécurité et la criminalité urbaine ces derniers jours;
« Je vous présente encore une fois mes compensions, vous le savez, l’honorable Nzanzu Kasivita est en congé, même ses discours aussi sont en congé. C’est pourquoi j’ai dit, je ne peux pas manquer partout où la paix est recherchée, c’est dans ce sens que j’ai accompagné notre aîné Vital Kamerhe pour que demain nous puissions continuer à penser comment notre province, celles de l’Ituri et Sud-Kivu peuvent recouvrer la paix, pour que nous arrivions à essuyer les larmes des enfants de Beni, de Rutshuru, de Mambasa de Irumu, afin de construire un pays géant de l’Afrique Centrale qui sera la boussole du continent africain »
a dit l’honorable Carly Nzanzu Kasivita, sous une ovation de la population présente, qui ne cessait de demander séance tenante, son retour aux affaires.
Précisons que, cela fait plusieurs 1 an depuis que la province du Nord-Kivu et celle de l’Ituri est sous l’état de siège, l’assemblée provinciale, les députés provinciaux et le gouvernement provincial sont tous en sursis, pour laisser la place aux militaires.
Rédaction